Comment bien meubler son salon de coiffure ?
Vous souhaitez créer prochainement votre salon de coiffure et vous ne savez pas encore quel mobilier choisir ? Aucune inquiétude à avoir, à travers cet article nous allons vous donner quelques règles de base.
L’accueil, un point crucial
La zone d’accueil de votre clientèle est l’un des points les plus importants à mettre en avant et pour cause : il s’agit de la première chose que vos clients verront en arrivant dans votre salon. De même, si votre salon donne sur la rue, les passants verront tout de suite votre salon à travers l’entrée.
Soignez particulièrement l’accueil et ciblez parfaitement la clientèle qui pourrait fréquenter votre salon. Si vous vous trouvez dans le cœur historique de Paris, un salon « vintage » peut faire l’affaire. Si vous vous trouvez dans une ancienne zone ouvrière (Roubaix, Metz…) dans ce cas-là, optez pour un look industriel…
Bien entendu, il n’existe pas de règle universelle pour votre mobilier. Vous pourrez très bien faire quelque chose de chic et moderne dans un quartier ancien, le tout étant de répondre au mieux aux attentes de vos clients, et de vous y retrouver également.
La zone d’attente et les fauteuils de coiffure
L’autre point essentiel est la zone où vos clients attendront. De même, les fauteuils qui serviront à coiffer votre clientèle auront une importance toute particulière. Près de 90 % du temps passé dans votre salon de coiffure le sera en étant assis. Dans ce cas-là, vous devez avoir du mobilier confortable. Par exemple, pour acheter un fauteuil, n’hésitez pas à le tester avant, voir s’il est assez large et surtout… Qu’il se marie parfaitement avec le reste de votre décoration.
Prenez aussi soin à avoir du mobilier confortable pour les shampoings. Nombreux sont les clients à se plaindre des salons avec des bacs à shampoings qui font mal à la nuque. Optez pour des bacs réglables en hauteur ou bien des sièges qui peuvent être abaissés. Lorsqu’on va se faire coiffer, on souhaite se faire chouchouter et passer un excellent moment.
